Commeen 2016, 65% des sondés considÚrent qu'«il y a trop d'étrangers en France». Cet avis est partagé par 77% des ouvriers interrogés, 66% des employés, 57% des professions
73 %des plus de 65 ans sont propriĂ©taires de leur rĂ©sidence retraitĂ©s français prĂ©fĂšrent ĂȘtre propriĂ©taires de leur logement. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les Français cherchent plus que les autres EuropĂ©ens Ă ĂȘtre propriĂ©taires. Pour les retraitĂ©s, câest un choix sĂ©curisant Ă une pĂ©riode oĂč les revenus baissent. Un choix de raison ? DĂ©cryptage des avantages et des inconvĂ©nients dâĂȘtre locataire ou propriĂ©taire, avec quelques conseils si vous souhaitez devenir Ă©tude Insee Les revenus et le patrimoine des mĂ©nages, Ă©dition 2018Ătre locataire Ă la retraite des avantages limitĂ©sLe dĂ©part Ă la retraite est souvent synonyme de baisse de ressources, le montant des pensions de retraitePension de retraiteSomme versĂ©e pĂ©riodiquement Ă un assurĂ© aprĂšs la liquidation de sa retraite, aprĂšs cessation totale ou partielle de l'activitĂ© professionnelle. Ă©tant infĂ©rieur aux salaires. Certes, certaines dĂ©penses peuvent se rĂ©duire Ă©galement quand on prend sa retraite les enfants ne sont gĂ©nĂ©ralement plus Ă charge, vous avez du temps pour vous occuper vous-mĂȘme de la maison, etc. Mais ces Ă©conomies ne compensent pas toujours la baisse de ce contexte, louer votre logement peut prĂ©senter des avantages. Cela apparaĂźt dâabord comme une solution Ă©conomique. En effet, les dĂ©penses dâentretien ravalement d'un immeuble, rĂ©fection d'une toiture, etc., qui peuvent s'avĂ©rer trĂšs importantes et dĂ©sĂ©quilibrer un budget, ne seront pas Ă votre charge mais Ă celle du propriĂ©taire. Autre avantage, la loi protĂšge le locataire de 65 ans ou plus. Le propriĂ©taire n'a pas le droit de rĂ©silier son bail, sauf s'il lui propose un autre logement Ă©quivalent Ă proximitĂ©. Mais attention, cette protection nâest pas illimitĂ©e. Le bail peut ĂȘtre rĂ©siliĂ© si les ressources du locataire dĂ©passent un plafond pour une personne seule en 2019, 23 721 ⏠par an en Ăle-de-France et 20 623 ⏠dans le reste du pays ;le propriĂ©taire a lui-mĂȘme 65 ans ou plus, ou ses ressources sont infĂ©rieures Ă ce mĂȘme protection est par ailleurs Ă double tranchant. Lorsqu'on arrive Ă la retraite, il est frĂ©quent d'envisager de dĂ©mĂ©nager pour prendre un logement plus petit ou changer d'environnement. Vous pouvez alors avoir des difficultĂ©s Ă trouver un logement correspondant Ă vos recherches, surtout dans les zones oĂč le marchĂ© locatif est niveau fiscal, la location sera plus avantageuse que la propriĂ©tĂ©. Les impĂŽts locaux diffĂšrent dâun statut Ă lâautre. Ainsi, le locataire ne paiera que la taxe dâhabitation alors que le propriĂ©taire paiera la taxe dâhabitation et la plus taxe propriĂ©taire Ă la retraite une option sĂ©curisanteĂtre propriĂ©taire de votre logement Ă la retraite permet de mieux maĂźtriser votre budget et de vous sĂ©curiser de plusieurs façons pas seulement financiĂšrement. Les dĂ©penses de logement reprĂ©sentent en moyenne plus du 1/4 du budget des mĂ©nages en France. Et parmi les charges mensuelles de logement, le loyer est de loin la part la plus Ă©levĂ©e. Ne plus avoir Ă payer de loyer peut donc permettre d'Ă©quilibrer votre budget au moment de la retraite, Ă condition bien sĂ»r d'avoir fini ou quasiment fini de rembourser vos emprunts. Devenir propriĂ©taire est dâautant plus avantageux que les loyers augmentent plus vite que les revenus depuis 30 ans. Et la revalorisation des pensions de retraite ne suit pas toujours la hausse des loyers. Ă cela s'ajoutent les hausses de la fiscalitĂ© sur les retraites , comme celle de la CSG en 2018. Ătre propriĂ©taire vous garantit de pouvoir conserver votre logement. Lorsque vous ĂȘtes locataire, votre bailleur peut dĂ©cider Ă tout moment de vendre son bien, et rien ne vous garantit que le nouveau propriĂ©taire souhaitera le laisser en location. Ătre propriĂ©taire, enfin, c'est disposer d'un patrimoine. En fonction de votre situation, vous pouvez l'utiliser de diffĂ©rentes façons. Si vous souhaitez dĂ©mĂ©nager ou si vous devez partir en maison de retraite, vous pourrez revendre ou louer votre les charges dâentretien sont Ă vos frais, il existe des aides pour amĂ©liorer votre habitation. Celles de l'Agence nationale de l'habitat Anah sont rĂ©servĂ©es aux personnes aux revenus modestes. Celles des caisses de retraite s'adressent Ă tous, Ă certaines conditions. Les locataires y ont Ă©galement accĂšs⊠mais vous n'aurez pas forcĂ©ment envie d'investir dans l'amĂ©nagement d'un logement qui n'est pas le vĂŽtre !Comment et quand devenir propriĂ©taire ?Pour acheter un logement, le plus courant est de recourir au crĂ©dit, mĂȘme si l'on dispose d'un apport important. Nous vivons une pĂ©riode de taux d'intĂ©rĂȘt trĂšs bas emprunter Ă long terme est aujourdâhui pouvez choisir d'acquĂ©rir votre rĂ©sidence principale au lieu de payer un loyer, vous constituez votre pouvez Ă©galement acquĂ©rir un logement dans la perspective de le mettre en location, le loyer pouvant couvrir tout ou partie de votre crĂ©dit. En outre, il existe des mesures de dĂ©fiscalisation, comme le dispositif fois Ă la retraite, vous pourrez soit revendre le bien et acheter lĂ oĂč vous le souhaitez, soit habiter directement le vous empruntez jeune, moins les conditions sont exigeantes. Vous pouvez envisager d'emprunter sur une pĂ©riode plus longue pour financer votre achat en dĂ©but de ce qui est de la question Ă quel moment ? », la rĂ©ponse est le plus tĂŽt possible ! En anticipant suffisamment votre achat, vous n'aurez plus ni loyer ni remboursement Ă payer au moment de votre retraite. De plus, un emprunt doit ĂȘtre assurĂ©, et le coĂ»t des assurances tend Ă augmenter avec l' fait, les Français achĂštent de plus en plus tĂŽt. En 2015, selon l'Insee, prĂšs de la moitiĂ© des 30-39 ans ont dĂ©jĂ achetĂ© leur rĂ©sidence principale. Et cette proportion augmente avec l' problĂšmes de santĂ© plus frĂ©quents avec lâĂąge peuvent vous empĂȘcher d'obtenir un crĂ©dit. Il existe cependant un dispositif spĂ©cifique la convention S'assurer et emprunter avec un risque aggravĂ© de santĂ© Aeras, qui peut vous permettre, Ă certaines conditions, d'emprunter tout en prĂ©sentant un risque aggravĂ© de santĂ© ». Il faut notamment avoir moins de 70 ans Ă la fin du crĂ©dit et emprunter moins de 320 000 âŹ.Une fois Ă la retraite, il est encore possible de devenir propriĂ©taire il est plus facile aujourd'hui d'emprunter les pensions de retraite sont des revenus sĂ»rs !. Mais la baisse de vos ressources risque cependant de rendre les mensualitĂ©s plus difficiles Ă donc pas trop pour franchir le pas et prĂ©parer votre retraite avec l'immobilier !Ce qu'il faut retenir sur la propriĂ©tĂ© vs la location Ă la retraiteDu point de vue de la sĂ©curitĂ©, il vaut mieux ĂȘtre propriĂ©taire. Un locataire peut perdre son logement, sauf sâil a plus de 65 ans et un faible revenu. Il pourra en revanche ĂȘtre expulsĂ© si son propriĂ©taire a lui-mĂȘme plus de 65 ans et un faible point de vue des finances, il vaut mieux ĂȘtre propriĂ©taire lĂ aussi les dĂ©penses de logement reprĂ©sentent en moyenne 1/4 du budget en France. Les propriĂ©taires doivent payer les frais dâentretien, mais des aides existent et cela reste bien moins cher que le loyer !Ătre propriĂ©taire reprĂ©sente un investissement les loyers augmentent plus vite que les revenus depuis 30 ans. MĂȘme avec un apport important, le plus simple est de recourir Ă un crĂ©dit surtout avec les taux actuels avantageux et les mesures de dĂ©fiscalisation. Il vaut mieux le faire le plus tĂŽt possible, afin dâĂ©taler le vous ĂȘtes propriĂ©taire et dĂ©sirez changer de cadre de vie, vous pourrez toujours vendre ou louer votre logement.
PoĂšmeĂ celle qui est restĂ©e en France I Mets-toi sur ton sĂ©ant, lĂšve tes yeux, dĂ©range Ce drap glacĂ© qui fait des plis sur ton front dâange, Ouvre tes mains, et prends ce livre : il est Ă toi. Ce
Pour dĂ©terminer les rĂ©ponses Ă apporter Ă une crise Ă©conomique, il est utile de tirer des enseignements du passĂ©. Mais la crise actuelle dĂ©clenchĂ©e par le Coronavirus Covid-19 ne ressemble Ă aucune autre, ce qui complique la tĂąche des gouvernements et des banques centrales. La crise de 1929 Le krach boursier dâoctobre 1929 a dĂ©clenchĂ© la premiĂšre grande crise depuis le dĂ©veloppement de lâĂ©conomie capitaliste moderne au XIXĂšme siĂšcle. Elle a Ă©tĂ© causĂ©e par une bulle boursiĂšre et immobiliĂšre, alimentĂ©e par du crĂ©dit abondant, principalement aux Ătats-Unis. Quand les prix des actions et de lâimmobilier se sont brutalement retournĂ©s, de nombreux spĂ©culateurs endettĂ©s ont fait faillite. En consĂ©quence, les banques ont Ă nouveau Ă©tĂ© en difficultĂ©, et la crise sâest propagĂ©e Ă lâensemble de lâĂ©conomie et au reste du monde. De plus, la rĂ©ponse inadaptĂ©e du prĂ©sident Herbert Hoover, qui nâa pas soutenu lâĂ©conomie via la dĂ©pense publique, a aggravĂ© la crise. Durant la Grande dĂ©pression des annĂ©es 1930, le PIB mondial aurait baissĂ© dâenviron 15 %, et le PIB des Ătats-Unis dâenviron 10 %. La notion de produit intĂ©rieur brut PIB a Ă©tĂ© inventĂ©e en 1932 par Simon Kuznets et sâest gĂ©nĂ©ralisĂ©e aprĂšs la seconde guerre mondiale. Les chiffres du PIB avant 1945 ne sont donc que des estimations calculĂ©es rĂ©trospectivement. La Seconde guerre mondiale Bien que la Seconde guerre mondiale soit rarement abordĂ©e sous un angle Ă©conomique, elle a entraĂźnĂ© un plongeon de la richesse produite sauf dans les pays nâayant pas connu de combats sur leur sol, comme les Ătats-Unis. En effet, la guerre a simultanĂ©ment comprimĂ© la demande la population diminue sa consommation en pĂ©riode troublĂ©e et lâoffre destruction dâusines, de capital, pertes humainesâŠ. Ainsi, le PIB de la France sâest contractĂ© pratiquement de moitiĂ© entre 1940 et 1944. Le choc pĂ©trolier de 1973 En 1973, lâOrganisation des Pays Exportateurs de PĂ©trole OPEP coupe sa production en rĂ©ponse au soutien amĂ©ricain Ă IsraĂ«l lors de la Guerre du Kippour. Dans la foulĂ©e, le prix du pĂ©trole brut est multipliĂ© par quatre. Ce choc pĂ©trolier provoque une crise de lâoffre les coĂ»ts augmentent pour les entreprises productrices et de la demande les prix sont plus Ă©levĂ©s pour les consommateurs. Cette crise conduit Ă une contraction du PIB de 1 % en France. La crise du SystĂšme MonĂ©taire EuropĂ©en SME en 1993 En 1993, le PIB français se contracte de 0,6 % suite Ă la crise du SME. Cette crise rĂ©sulte de la difficultĂ© dâaccorder les taux de change entre les pays europĂ©ens avant la crĂ©ation de lâeuro la monnaie unique est dâailleurs vue comme un moyen dâĂ©viter ce type de crise. Le mĂ©canisme Ă©conomique de cette crise est plus complexe que les prĂ©cĂ©dentes, nous en prĂ©sentons ici une explication simplifiĂ©e Ă cette Ă©poque, les pays europĂ©ens sâengageaient Ă maintenir leurs taux de change fixes. Or, la rĂ©unification allemande entraĂźne une forte hausse de lâinvestissement pour Ă©quiper lâex-Allemagne de lâest, plus pauvre que lâAllemagne de lâouest. Cela conduit Ă une hausse des taux dâintĂ©rĂȘt en Allemagne plus de demande de capital conduit Ă une hausse de son prix, donc du taux dâintĂ©rĂȘt, ce qui entraĂźne une apprĂ©ciation du Deutsche mark si les taux sont plus Ă©levĂ©s en Allemagne, les investisseurs vont y placer leur argent, donc achĂštent du Deutsche mark, ce qui entraĂźne une augmentation de sa valeur. Pour maintenir la paritĂ© avec le Deutsche mark, la Banque de France est contrainte dâaugmenter les taux dâintĂ©rĂȘt en France, ce qui conduit Ă une contraction de lâinvestissement et de la consommation. La crise des subprimes en 2008 La crise de 2008, dite des subprimes » est assez similaire Ă celle de 1929. Elle est due Ă lâĂ©clatement dâune bulle spĂ©culative immobiliĂšre, qui a conduit Ă une crise bancaire, puis Ă©conomique. Partie des Ătats-Unis, elle sâest propagĂ©e au monde entier. En France, le PIB sâest contractĂ© de 2,9 % en 2009, cette crise a donc Ă©tĂ© la plus violente depuis 1945. La crise du coronavirus ou Covid-19 La crise sanitaire actuelle est en train de dĂ©clencher une crise Ă©conomique mondiale. Lâimpact exact de cette crise est encore difficile Ă quantifier, mais le choc risque dâĂȘtre extrĂȘmement violent dans le monde entier, bien supĂ©rieur Ă la crise de 2008-2009. Par exemple, la banque Goldman Sachs prĂ©voit une contraction du PIB amĂ©ricain de 24 % au second trimestre 2020. Cette crise ne ressemble pas aux prĂ©cĂ©dentes. Elle nâest pas causĂ©e par lâĂ©clatement dâune bulle la baisse des bourses est la consĂ©quence et non la cause de la crise, ni par un problĂšme dâajustement des taux de change, ni par une envolĂ©e du prix du pĂ©trole celui-ci sâeffondre, ni par des destructions massives causĂ©es par des bombardements. Le problĂšme Ă©conomique principal est le confinement de la population qui rĂ©duit la demande les magasins non-essentiels sont fermĂ©s et les consommateurs confinĂ©s et lâoffre beaucoup de travailleurs sont bloquĂ©s chez eux. LâĂ©pidĂ©mie de grippe espagnole » de 1918 pourrait servir de point de repĂšre. Mais les Ă©conomies europĂ©ennes, alors en pleine guerre, ne fonctionnaient pas selon leur cours normal, ce qui rend toute comparaison hasardeuse. Face Ă cette crise inĂ©dite, lâurgence est dâĂ©viter une envolĂ©e du chĂŽmage et des faillites en cascade. Les banques centrales du monde entier ont ainsi baissĂ© les taux dâintĂ©rĂȘt et augmentĂ© les programmes de rachat dâactifs, et les gouvernements augmentent leurs dĂ©penses pour aider les entreprises et les mĂ©nages en difficultĂ©.
Condamnationet dégradation. En attendant, Dreyfus est renvoyé le 4 décembre 1894 devant le premier Conseil de Guerre qui doit se réunir le 19 décembre pour le juger. A la stupéfaction de tous ceux qui connaissent l'Affaire, le Conseil de Guerre déclare Dreyfus coupable à l'unanimité.
Nous sommes en guerre ! » Emmanuel Macron lâa rĂ©pĂ©tĂ© six fois dans son discours martial de chef de guerre contre le coronavirus ! Nous sommes en guerre mais dans le cadre dâune idĂ©ologie europĂ©iste bĂ©ate bien comprise ! Il nâa pas Ă©tĂ© question, une seule seconde, pour la Macronie mondialiste au pouvoir, de fermer les frontiĂšres françaises. Câeut Ă©tĂ© ouvrir une brĂšche qui laisserait penser que la Nation peut faire quelque chose que la sacro-sainte Europe ne pourrait pas faire ! Inacceptable ! Et le lamentable argument quâon a entendu partout, macronistes et mĂ©dias confondus, fut le suivant On ne va pas vous refaire le coup du nuage de Tchernobyl ! Les virus, eux, ne sâarrĂȘtent pas aux frontiĂšres ! » Le degrĂ© zĂ©ro de lâargumentation car les virus ne peuvent traverser les frontiĂšres que par les gens qui les transportent ! Quant Ă la dĂ©cision de fermer les frontiĂšres externes de la zone Schengen, elle laisse perplexe quand on sait que le virus est dĂ©sormais le plus actif en Europe ! JâhĂ©site entre lâenfumage et le foutage de gueule ! Cet article de la Lettre patriote attaque frontalement lâidĂ©ologie qui mĂšne lâEurope LâidĂ©ologie droit-de-lhommiste âopen societyâ a tuĂ© des Français Il ne fallait pas fermer les frontiĂšres. CâĂ©tait une idĂ©e monstrueuse, une idĂ©e fascisante, nationaliste, de repli rance, que sais-je ? Il nây avait aucun rapport entre un virus importĂ© de Chine et des frontiĂšres ouvertes Ă tous les vents. Le mot frontiĂšre Ă©tait mĂȘme devenu sale, impoli, du âmonde dâavantâ, ok, boomer ? Et puis les morts. PrĂšs de 150 dĂ©jĂ en France. Pendant que Sibeth se moque des Italiens, qui eux, tentent par tous les moyens de juguler la catastrophe sanitaire qui sâabat sur leur pays. 150 morts, dont la quasi totalitĂ© aurait pu ĂȘtre Ă©vitĂ©e si on avait simplement, tout simplement, fermĂ© les frontiĂšres. Mais enfin, ça ne se fait pas ! Et puis dâabord, on ne peut pas, on nâa pas les douaniers, on nâa pas les moyens⊠JusquâĂ cette fameuse soirĂ©e du lundi 16 mars, pendant laquelle le jeune locataire de lâĂlysĂ©e annonça, menton en avant, que on allait voir ce quâon allait voir, et que lâEurope â oui, encore lâEurope ! â fermait dĂ©sormais ses frontiĂšres. Car voilĂ ce quâil refusait de faire il refusait que la France manifeste quelque souverainetĂ© que ce soit. Il refusait que la France protĂšge les siens, sans lâaval de Bruxelles et de maman Merkel. Il refusait Ă la France de la sauver, car le PrĂ©sident ne te touche pas pour que Dieu te guĂ©risse depuis que la gueuse a remplacĂ© notre bon vieux royaume. Toute la macronie avait en horreur cette idĂ©e toute simple, de bon sens fermer les frontiĂšres de notre pays. Tout simplement parce que nation et pays sont des concepts qui leurs sont Ă©trangers, quâils ont relĂ©guĂ©s aux livres dâHistoire, dans les heures les plus sombres, etc. Il leur fallait lâEurope, lâEurope, lâEurope. Pendant ce temps-lĂ , nous mourions. Julien Michel pour La Lettre patriote. Dans un autre article, la Lettre patriote comparait le taux de contamination des pays qui nâavaient pas fermĂ© leur frontiĂšre avec ceux qui lâavaient fermĂ©e ATTENTION Les chiffres sont impressionnantes mais la comparaison doit ĂȘtre considĂ©rĂ©e avec prudence car dâautres facteurs influent comme la taille de la communautĂ© chinoise de chacun des pays et la densitĂ© des relations Ă©conomiques avec la Chine. Et sâil ne reste quâun guichet ⊠Oui, vous avez bien lu ! Quand la prĂ©fecture nâassure plus AUCUN service pour les Français, elle garde ouvert le guichet au profit des demandeurs dâasile ! DĂ©cidĂ©ment, lâidĂ©ologie progressiste et immigrationniste gouverne tout ! Merci de tweeter cet article Suivre ChrisBalboa78
PourlâHistoire, Robespierre est restĂ© le visage de la Terreur. "Au sein du comitĂ© de Salut public oĂč il entre le 27 juillet 1793, Robespierre est plus puissant que jamais et sâimpose incontestablement comme le premier des onze, en notoriĂ©tĂ© et en autoritĂ©. A la Convention, aucune voix ne peut dĂ©sormais le concurrencer", explique
S?ur Marguerite Tortelle n'a qu'un seul regret aujourd'hui sa hiĂ©rarchie lui demande de rejoindre Marseille en juillet prochain pour y prendre sa retraite - semi-retraite», prĂ©cise-t-elle - et y finir ses jours, comme le veut le rĂšglement, au milieu de la communautĂ©. Cette s?ur blanche - du nom de la congrĂ©gation fondĂ©e en AlgĂ©rie, Ă la fin du XIXe siĂšcle, par le cardinal Lavigerie - aurait pu partir en 1962. Mais elle a prĂ©fĂ©rĂ© rester dans ce pays qu'elle a toujours considĂ©rĂ© comme sa patrie. Ma famille Ă©tait installĂ©e dans l'Ouest algĂ©rien - son aĂŻeul paternel Ă©tait consul Ă Mostaganem du temps des Turcs - bien avant 1830», dit-elle. Lorsque sa supĂ©rieure lui demande, au lendemain de l'indĂ©pendance, un engagement Ă©crit pour l'autoriser Ă rester sur sa terre natale elle est nĂ©e Ă Alger en 1921, elle n'hĂ©site pas une seconde. Elle n'hĂ©sitera pas non plus lorsque, une trentaine d'annĂ©es plus tard, aprĂšs plusieurs assassinats de religieuses par les Groupes islamiques armĂ©s, elle est sommĂ©e de prendre Ă nouveau par Ă©crit le mĂȘme engagement. Je n'ai, dit-elle, jamais eu envie de partir. Comme pied- noir, ajoute-t-elle, je n'ai pas tout de suite compris le fait colonial. Mais, dĂšs ses dĂ©buts, j'ai saisi la lĂ©gitimitĂ© de la guerre d'indĂ©pendance, mĂȘme si je n'approuvais pas la violence.» Dans la bibliothĂšque des Palmiers, dont elle avait alors la charge, elle cĂŽtoyait quelques-unes des grandes figures fĂ©minines de la rĂ©volution algĂ©rienne. Hassiba Ben Bouali, Jamila Boupacha, Malika Akrour et bien d'autres venaient prendre des livres et nous discutions beaucoup. Puis, aprĂšs la grĂšve des Ă©tudiants et lycĂ©ens de 1956, lorsque les autoritĂ©s coloniales ont refusĂ© de les rĂ©intĂ©grer dans leurs classes, j'ai essayĂ© de les faire admettre dans des institutions religieuses afin qu'elles puissent poursuivre leur scolaritĂ©. Nous les avons aidĂ©es, ainsi que d'autres membres du FLN. Et cachĂ© aussi chez nous parce que nous savions ce qui attendait des filles aussi jeunes si elles Ă©taient arrĂȘtĂ©es. Elles Ă©taient souvent violĂ©es?» Pour s?ur Marguerite Tortelle, ĂȘtre appelĂ©e pied-noir» n'a rien de pĂ©joratif. Plus personne ne sait vraiment aujourd'hui pourquoi les Français nĂ©s en AlgĂ©rie Ă©taient nommĂ©s ainsi. Certains Ă©voquent la boue qui leur collait aux pieds lorsqu'ils assĂ©chaient les marĂ©cages de la Mitidja autour d'Alger. D'autres affirment que c'Ă©tait tout simplement parce que les Français portaient des chaussures, alors que les AlgĂ©riens n'en portaient pas. En gĂ©nĂ©ral, ceux des Français qui ont choisi de rester en AlgĂ©rie aprĂšs 1962 rĂ©cusent cette expression. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1⏠sans engagement C'est le cas de ce mĂ©decin qui dĂ©sire conserver l'anonymat. NĂ© de la sixiĂšme gĂ©nĂ©ration de colons, il prĂ©fĂšre que l'on dise de lui qu'il est Français d'AlgĂ©rie». D'ailleurs, il a toujours refusĂ© de prendre la nationalitĂ© algĂ©rienne, comme bien d'autres l'ont fait. Il a commencĂ© Ă exercer son mĂ©tier, en 1961, dans le mĂȘme cabinet de ce quartier populaire d'Alger, et il n'oublie pas les moments pĂ©nibles, d'avant et de maintenant». En 1961-1962, il fallait beaucoup de courage pour rester Ă Alger et continuer Ă exercer le mĂ©tier de mĂ©decin. D'un cĂŽtĂ©, l'OAS [Organisation armĂ©e secrĂšte] tuait les mĂ©decins qui soignaient les Arabes, d'un autre, les militants du FLN enlevaient carrĂ©ment les mĂ©decins afin qu'ils soignent leurs blessĂ©s. Certains matins, entre mon cabinet et l'hĂŽpital, je croisais quatre ou cinq cadavres.» Mais cela n'a pas suffi pour venir Ă bout de son entĂȘtement Ă rester ici. C'est notre pays, la peur n'y change rien. Je savais que les choses allaient changer. Elles ont changĂ©, en effet.» Car, en cet Ă©tĂ© 1962, pour ce jeune mĂ©decin qui a Ă©chappĂ© par miracle Ă plusieurs attentats, il y avait, malgrĂ© la terreur, des raisons d'espĂ©rer. Au lendemain de l'indĂ©pendance, il se retrouve tout seul dans son service. Les autres mĂ©decins Ă©taient partis, les infirmiers europĂ©ens aussi. Avec les employĂ©s algĂ©riens, nous avons fait un travail formidable.» Ni lui ni son Ă©pouse, issue d'une famille d'Alsaciens qui avait fui les Allemands lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, n'ont jamais pensĂ© Ă partir. On connaissait tout le monde.» Avec la terreur islamiste de cette derniĂšre dĂ©cennie qui ciblait, notamment, les Ă©trangers - Je suis presque sĂ»r d'avoir soignĂ© un afghan un jour?», dit-il - il a bien fallu prendre quelques prĂ©cautions, comme tout le monde. Sans plus. Ceux qui ont prĂ©fĂ©rĂ© quitter le pays sont ceux qui n'Ă©taient pas proches de la population. Certains pieds-noirs, tout en vivant ici, n'avaient jamais vu d'AlgĂ©rien?» En 1962, sur 1 million d'EuropĂ©ens qui vivaient en AlgĂ©rie, seuls 60 000 sont restĂ©s. Souvent les plus modestes. Comme cette concierge qui tenait un immeuble dans le centre d'Alger depuis sa construction, en 1951. Avant de mourir, l'annĂ©e derniĂšre, Ă 80 ans, elle confiait Ă ses voisins Si je suis restĂ©e ici, en AlgĂ©rie, c'est parce que mes parents et mon mari sont enterrĂ©s ici; il faut bien que j'aille fleurir leurs tombes de temps en temps. Et puis, je sais que mes voisins iront, Ă leur tour, me rendre visite au cimetiĂšre aprĂšs ma mort.» Beaucoup qui avaient choisi de rester sont finalement partis, soit lorsqu'ils ont vu le pays s'engager dans le dogmatisme socialiste, soit, plus rĂ©cemment, avec l'apparition des groupes armĂ©s et de la terreur islamistes. Selon certaines sources bien informĂ©es du consulat de France Ă Alger, la communautĂ© française est passĂ©e, entre 1994 et 2000, de 24 700 Ă 8 800 membres, y compris les binationaux en majoritĂ© des AlgĂ©riens qui ont pris aussi la nationalitĂ© française. Environ 6 000 d'entre eux sont inscrits au consulat de France. Si on retire les quelque 300 fonctionnaires et tous ceux qui sont venus aprĂšs 1962, il ne reste en fait aujourd'hui qu'un millier de pieds- noirs, Ă©parpillĂ©s sur tout le territoire algĂ©rien. Et en voie de disparition», dĂ©clare cyniquement l'un d'eux. En effet, son fils, la trentaine, refuse catĂ©goriquement qu'on le qualifie de pied-noir. Je suis algĂ©rien, moi», dit-il avec insistance. C'est sans doute pour cela que les autoritĂ©s consulaires refusent de leur accorder un traitement particulier. Pour nous, ceux qui n'ont pas perdu leur nationalitĂ© française sont français comme les autres.» D'oĂč le manque de recensement vĂ©ritable. Du cĂŽtĂ© algĂ©rien, on tient le mĂȘme discours. Ceux qui ont pris la nationalitĂ© algĂ©rienne - ils sont, semble-t-il, majoritaires - sont considĂ©rĂ©s comme les autres nationaux. Les autres sont traitĂ©s comme n'importe quels autres Ă©trangers», affirme un fonctionnaire du ministĂšre algĂ©rien des Affaires Ă©trangĂšres. Etre comme les autres». C'est ce qu'ils ont voulu, depuis le dĂ©but. Il fallait d'abord montrer qu'ils n'avaient rien Ă voir avec les mĂ©chants» colons. Ensuite, dans ce pays oĂč ont rĂ©gnĂ© pendant trente ans la pensĂ©e unique et le discours uniformisant, il valait mieux - pour tout le monde, d'ailleurs- se fondre dans la masse et ne pas trop se faire remarquer. Ce fut le cas des religieux, par exemple, qui ont pris en masse la nationalitĂ© algĂ©rienne afin de bien marquer leur appartenance au pays, mais aussi afin de ne pas ajouter une diffĂ©rence Ă celle qu'ils avaient dĂ©jĂ du fait de leur religion. Cet architecte Ă l'humour un peu gras a prĂ©fĂ©rĂ© garder l'anonymat. Pied-noir de la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration, il n'aime pas trop qu'on l'appelle ainsi. Moi, je ne suis pas restĂ©. Je suis revenu.» En effet. En 1956, il Ă©tait militant au sein du FLN. Il part quand mĂȘme pour Paris, puis pour Lausanne, afin de terminer ses Ă©tudes. Il Ă©tait donc tout naturel pour lui de revenir, dĂšs NoĂ«l 1962. Partir? Je ne me suis pas posĂ© la question.» Depuis, il enseigne Ă l'Ecole d'architecture d'Alger et se dĂ©clare satisfait de son statut de fonctionnaire. Il s'est nĂ©anmoins Ă©loignĂ©, entre 1994 et 1997, aprĂšs que le GIA eut assassinĂ© trois enseignants et sur les conseils insistants de ses amis. C'est seulement Ă ce moment-lĂ qu'il a redemandĂ© un passeport français. Les prĂ©posĂ©s au guichet n'ont pas pu s'empĂȘcher de ricaner?» Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
Enrevanche, plus fondamentalement, câest toute la question de lâinscription de cette notion dâintĂ©gration sociospatiale dans un cadre thĂ©orique qui est posĂ©e dans des tentatives telles que celle de C. Grasland. ProximitĂ© spatiale et intĂ©gration sociale. 36 La proximitĂ© spatiale est une notion en apparence neutre et qui semble aller
IMets-toi sur ton sĂ©ant, lĂšve tes yeux, dĂ©range Ce drap glacĂ© qui fait des plis sur ton front d'ange,Ouvre tes mains, et prends ce livre il est Ă livre oĂč vit mon Ăąme, espoir, deuil, rĂȘve, effroi, Ce livre qui contient le spectre de ma vie,Mes angoisses, mon aube, hĂ©las ! de pleurs suivie, L'ombre et son ouragan, la rose et son pistil, Ce livre azurĂ©, triste, orageux, d'oĂč sort-il ? D'oĂč sort le blĂȘme Ă©clair qui dĂ©chire la brume ?Depuis quatre ans, j'habite un tourbillon d'Ă©cume ; Ce livre en a jailli. Dieu dictait, j'Ă©crivais ;Car je suis paille au vent. Va ! dit l'esprit. Je vais. Et, quand j'eus terminĂ© ces pages, quand ce livre Se mit Ă palpiter, Ă respirer, Ă vivre, Une Ă©glise des champs, que le lierre verdit, Dont la tour sonne l'heure Ă mon nĂ©ant, m'a dit Ton cantique est fini ; donne-le-moi, poĂ«te. - Je le rĂ©clame, a dit la forĂȘt inquiĂšte ;Et le doux prĂ© fleuri m'a dit - Donne-le-moi. La mer, en le voyant frĂ©mir, m'a dit - PourquoiNe pas me le jeter, puisque c'est une voile !- C'est Ă moi qu'appartient cet hymne, a dit l'Ă©toile. - Donne-le-nous, songeur, ont criĂ© les grands les oiseaux m'ont dit - Vas-tu pas aux vivants Offrir ce livre, Ă©clos si loin de leurs querelles ? Laisse-nous l'emporter dans nos nids sur nos ailes ! -Mais le vent n'aura point mon livre, ĂŽ cieux profonds ! Ni la sauvage mer, livrĂ©e aux noirs typhons, Ouvrant et refermant ses flots, Ăąpres embĂ»ches ; Ni la verte forĂȘt qu'emplit un bruit de ruches ;Ni l'Ă©glise oĂč le temps fait tourner son compas ; Le prĂ© ne l'aura pas, l'astre ne l'aura pas,L'oiseau ne l'aura pas, qu'il soit aigle ou colombe, Les nids ne l'auront pas ; je le donne Ă la
Ăcelle qui est restĂ©e en France I Mets-toi sur ton sĂ©ant, lĂšve tes yeux, dĂ©range Ce drap glacĂ© qui fait des plis sur ton front dâange, Ouvre tes mains, et prends ce livre : il est Ă toi.
Culture Histoire Le 29 janvier 1871 s'achevait la premiĂšre guerre franco-allemande. Une humiliation. Bataille de Sedan en septembre 1870 © Photo 12/Ann Ronan Picture Library Humiliante, voilĂ l'adjectif le plus souvent utilisĂ© pour qualifier la dĂ©faite de la France lors de la guerre de 1870. Pourtant, la France est bien Ă l'origine de ce conflit, puisque c'est NapolĂ©on III, alors empereur, qui dĂ©clare la guerre Ă la Prusse le 19 juillet 1870. Tout d'abord entre Français et Prussiens, cet affrontement tourne en une opposition entre deux nations la France et l'Allemagne. En effet, les Prussiens sont rejoints par les Ă©tats allemands du Sud qui se forgent une identitĂ© pour mettre en pĂ©ril la nation française. Cet Ă©pisode est restĂ© longtemps comme une blessure profonde pour la France et son histoire. L'humiliation est totale, que ce soit sur le plan des dĂ©faites militaires ou des consĂ©quences politiques sur le pays et surtout avec la perte d'une partie du territoire national. La "dĂ©bĂącle" de Sedan et la chute de l'empire Les dĂ©faites militaires s'accumulent trĂšs vite pour la France. Mal organisĂ©e, l'armĂ©e prend du temps Ă se mettre en place et s'agglutine sur les frontiĂšres entre les deux pays. NapolĂ©on III, malade et fatiguĂ©, tient tout de mĂȘme Ă ĂȘtre sur le devant de la scĂšne et Ă rester dans son rĂŽle de chef des armĂ©es. Mais il assiste impuissant aux premiĂšres dĂ©faites françaises. L'armĂ©e de l'empire s'incline Ă Wissembourg le 3 aoĂ»t, puis Ă Forbach trois jours plus tard, oĂč le gĂ©nĂ©ral Mac-Mahon doit battre en retraite. La panique commence Ă gagner les rangs de l'armĂ©e française. NapolĂ©on III lui-mĂȘme semble dĂ©contenancĂ©. Dans un tĂ©lĂ©graphe Ă l'impĂ©ratrice EugĂ©nie, il indique que "rien n'est prĂȘt. Nous n'avons pas suffisamment de troupes. Je nous considĂšre d'avance comme perdus." Il est vrai que les Allemands ont la domination numĂ©rique, mais aussi situation dramatique cĂŽtĂ© français ne pouvait mener qu'Ă une catastrophe. Cette derniĂšre a lieu Ă Sedan le 2 septembre, Ă©vĂ©nement qu'Ămile Zola nomme la "dĂ©bĂącle". L'armĂ©e allemande, en route vers Paris, apprend la prĂ©sence du gros des troupes françaises aux alentours de Sedan dans les quotidiens qu'elle trouve sur son passage. Se dĂ©cidant Ă faire demi-tour, elle se rend Ă la rencontre des Français commandĂ©s par le gĂ©nĂ©ral Mac-Mahon, qui prend les responsabilitĂ©s d'un NapolĂ©on III prĂ©sent, mais incapable de prendre des dĂ©cisions. Le dĂ©couragement des soldats de l'Empire laisse peu de doutes quant au rĂ©sultat de la bataille. DĂšs le 1er septembre, les troupes françaises sont Ă©crasĂ©es par la force du nombre et de l'organisation des Allemands. Ă plusieurs reprises, le drapeau blanc est levĂ© cĂŽtĂ© français. NapolĂ©on III traverse le champ de bataille, espĂ©rant y trouver la mort, mais finit par se livrer Ă Guillaume Ier, roi de Prusse. Au petit matin du 2 septembre, il signe la capitulation et se rend au-devant des dirigeants prussiens. Avec cette reddition, c'est la fin du Second Empire. 1 2 Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement L'humiliation de la France en 1870 Soyez le premier Ă rĂ©agir Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point.
Denouvelles conventions restent inappliquĂ©es et les Espagnols entrĂ©s en France en 1939 (DP) créées par le conflit, au nombre de 8 millions. La premiĂšre phase, en 1945, est celle des rapatriements dans les pays dâorigine. Certains sont volontaires, dâautres forcĂ©s, notamment tous les Russes que Staline a exigĂ© voir revenir en URSS lors de la confĂ©rence de Yalta. A la fin de
Citation Les Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France DĂ©couvrez une citation Les Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Les Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France issus de livres, discours ou entretiens. Une SĂ©lection de 3 citations et proverbes sur le thĂšme Les Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France. 3 citations > Citation de Victor Hugo n° 131809 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesDeviens le grand oeil fixe ouvert sur le grand Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France de Victor HugoRĂ©fĂ©rences de Victor Hugo - Biographie de Victor HugoPlus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo n° 131804 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesLes fleurs aiment la mort, et Dieu les fait toucher Par leur racine aux os, par leur parfum aux Ăąmes !Les Contemplations 1856, VII, A celle qui est restĂ©e en France de Victor HugoRĂ©fĂ©rences de Victor Hugo - Biographie de Victor HugoPlus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo n° 84218 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votes< Page 1/1Votre commentaire sur ces citations Citation Age Citation Animal Citation AmitiĂ© Citation Amour Citation Art Citation Avenir Citation BeautĂ© Citation Avoir Citation Bonheur Citation Conscience Citation Couple Citation Confiance Citation Courage Citation Culture Citation DĂ©sir Citation Dieu Citation Education Citation Enfant Citation Espoir Citation Etre Citation Faire Citation Famille Citation Femme Citation Guerre Citation Homme Citation Humour Citation Jeunesse Citation Joie Citation Justice Citation LibertĂ© Citation Mariage Citation MĂ©re Citation Monde Citation Morale Citation Naissance Citation Nature Citation Paix Citation Passion Citation PĂšre Citation Peur Citation Plaisir Citation Politique Citation Raison Citation Religion Citation RĂȘve Citation Richesse Citation Sagesse Citation Savoir Citation Science Citation SĂ©duction Citation SociĂ©tĂ© Citation Souffrance Citation Sport Citation Temps Citation TolĂ©rance Citation Travail Citation VĂ©ritĂ© Citation Vie Citation Vieillesse Citation Voyage ThĂšmes populaires +
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a celle qui est restée en france