Tuern'est pas jouer Tuer n'est pas jouer. Données clés; Titre original: The Living Daylights
Le cinéma peut adopter de belles causes bien écolo et c’est tant mieux. Mais est-ce que le cinéma est écolo en tant que tel ? Des milliers de films sont produits chaque année et avec ça leur lot de tournage avec groupe électrogène, transports des équipes, décors coûteux et souvent laissés à l’abandon… C’est bien cool de voir des scènes avec de la neige artificielle et de la pluie en robinet mais concrètement, l’impact des films sur l’environnement n’est pas toujours giga top. La preuve. 1. En France, le secteur audiovisuel dégage millions de tonnes de CO2 Ce qui représente ni plus ni moins 410 000 aller-retours Paris-New-York en un an. Bon alors bien sûr la comparaison n’est pas forcément ultra utile parce qu’on ne troquerait pas le secteur audiovisuel tout entier pour offrir un aller-retour à tous les habitants de Toulouse, ça n’aurait aucun sens. Mais bon, c’est pour vous donner une idée. 2. Une étude a montré en 2006 que les studios de Hollywood était le deuxième plus gros pollueur de Californie Arrivé juste après l’industrie du pétrole. Le truc moche quoi. 3. Le James Bond 007 Spectre a gâché 30 millions d'euros de bagnoles Et parmi ce joli lot on pouvait compter sept Aston Martin qui ont pourtant été conçues spécialement pour le film. Bon alors c’est sûr on pointe du doigt ce film mais il n’est pas le seul pas sûr que les montagnes de bagnoles de gendarmes dans Taxi aient un impact moindre. Ce qu’il faut surtout comprendre c’est que les gros tournages comme ceux de la saga James Bond ont tellement de pognon en jeu qu’ils peuvent se permettre de jouer au jeu de la surconsommation de décors coûteux quand bien même ils finiraient à la poubelle. 4. Le tournage de Expendables 2 dans une grotte de Bulgarie a entraîné la mort de de chauves-souris pourtant issues d'une colonie préservée Alors bien sûr Simon West le réalisateur n’a pas ordonné qu’on exécute des milliers de chauves-souris pour nourrir les biceps de Sylvester Stalone. Simplement il a tourné dans une grotte pour laquelle il n’aurait normalement pas du recevoir de permis parce qu’elle y abritait 22 000 chauves-souris dont près de la moitié ont rendu l’âme trop perturbées par le tournage et le jeu douteux de JCVD. 5. Le prochain James Bond a nécessité la construction de bâtiments en Norvège dans une région censée être protégée James Bond, encore lui ! Le prochain opus Bond 25 qui devrait sortir en 2020 a été tourné en partie en Norvège dans la ville de Trehorningen. Super. Sauf que pour le tournage, plusieurs bâtiments ont été construits alors que les lacs et les forêts y sont pourtant protégées et qu’on peut douter de l’impact eco-friendly de ces constructions sur la région. Certes la production s’est engagée à détruire ces constructions à la fin du tournage mais pas sûr que ça réduise concrètement leur impact carbone… Mais allez OUF, dans ce nouveau James Bond, ASKIP, Daniel Craig roulera dans une voiture électrique. C’est beau putain ce geste d’amour envers la planète. 6. Le tournage d'un long-métrage peut émettre jusqu'à tonnes de CO2 Bien sûr ce chiffre varie radicalement d’un film à l’autre, tout dépend du lieu de tournage, du type de scènes tournées et de l’argent en jeu plus c’est une grosse production, plus il y a de risques que le tournage soit coûteux en énergie. Là encore, la faute aux groupes électrogènes, aux transports parfois très lointains des équipes, à l’éclairage, aux bouteilles d’eau, aux gobelets en plastique, aux mégots de clopes. Bref, faut voir large. Mais faut voir quand même. 7. Le simple fait d'aller au cinéma entraîne une forte pollution Eh oui, pas de raison qu’on ne parle que des tournages puisque le cinéma est un tout qui implique également la consommation des films sur grand écran. Or le problème c’est que la plupart des spectateurs en France qui se rendent au cinéma prennent leur voiture pour le faire 70 % selon le CNC. Techniquement cette utilisation de la voiture dédiée aux sorties cinéma coûterait 350 000 tonnes par an. Ouch. 8. En suivant une charte écoresponsable, la série "Le maître du haut château" a pu économiser 50 000 dollars sur la troisème saison Oui parce que même si l’industrie du cinéma n’est pas encore au top top, de nombreuses initiatives voient le jour et incitent les tournages à se verdir quelque peu et la bonne nouvelle c’est que ça leur fait faire beaucoup d’économies. Ainsi sur le film Matrix Reloaded a recyclé 11 000 tonnes de décors notamment deux tronçons d’autoroute construit pour le film, on se demande bien comment il est ont recyclé mais bon. Par ailleurs des organismes comme Ecoprod incitent les grosses productions à compenser leur impact carbone en investissant une partie de leur frais dans des programmes visant à replanter des arbres… Deson côté la Vantage 007 Edition se présente avec des finitions inspirées de l'Aston Martin V8 qui fit ses débuts dans James Bond en 1987 dans « Tuer n'est pas jouer », et qui figure Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Scalextric propose depuis quelques temps la réplique de la célèbre Aston Martin V8 du film No Time To Die le dernier James Bond. Découvrez les photos de la slot car. Nouvelle voiture pour Scalextric, la célèbre Aston Martin V8 est la seule voiture du célèbre agent secret britannique à être présente dans deux films Bond. Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 L’Aston Martin V8 a fait ses débuts à l’écran dans le film Tuer n’est pas joué » en 1987. Elle revient cette année dans Mourir peut attendre » la nouvelle aventure de 007. Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Grand monstre des voitures GT, l’Aston V8 a été un pilier de la gamme Aston Martin à la fin des années 1970 et 1980, logique pour être la voiture de Bond. Bien que la voiture ne dispose pas de gadgets dans le dernier opus de la saga, sa vitesse et sa beauté sont suffisantes pour en faire une voiture Bond essentielle. Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Caractéristiques de la Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 de Scalextricmoteur cage courte en position sidewinderpignon en nylon 11 dentscouronne plastique 36 dentsaxes longueur 50 mmpaliers plastiqueJantes AV & AR en plastique, 15/ x 8 mmPneus AR x mmPneus AV x mmPoids vissé Scalextric l’Aston Martin V8 No Time To Die’ – C4203 Ony voit Daniel Craig à pied et au volant de sa célèbre Aston Martin V8. 2 /8. Dans les pas de James Bond . Une visite à pied est consacrée au célèbre espion en compagnie d’un guide quiAvec 4 générations qui ont chacune leur personnalité et leurs versions, la Mazda MX5 laisse l’embarras du choix à son futur acquéreur. Parmi celle-ci, la version coupé-cabriolet à toit rétractable de la troisième génération baptisée Mazda MX5 NC RC. NC qui désigne la 3 ème génération et RC pour Roadster Coupé. C’est une des versions de MX5 parmi les plus recherchées ces derniers temps. Un signe qui ne trompe pas, sa décote est très faible voir inexistante. Nous allons voir pourquoi… Commercialisée en 2006, un an après sa soeur avec capote en toile, la RC apparaît à une époque où le coupé cabriolet est en plein essor. Après le succès retentissant de Peugeot et sa 206 Coupé Cabriolet, de nombreux constructeurs qu’ils soient premiums ou généralistes se lancent sur le créneau avec plus ou moins de bonheur. Pour Mazda, il s’agit de conserver les fans de la MX5 et en même temps de toucher une nouvelle clientèle à la recherche de plus de confort et de sécurité. Même si les aficionados du roadster japonais ont fraîchement accueilli un concept qui pour eux trahissait l’esprit de leur jouet préféré, les chiffres de vente ont pourtant donné raison à Mazda. En effet, la version roadster a représenté la moitié des ventes totales de la MX5 NC ! La seule Mazda MX5 coupé-cabriolet toutes générations confondues Bien sûr il existe une autre version de MX5 à toit rétractable, la magnifique ND RF de quatrième génération mais ce n’est pas tout à fait la même chose. En effet, la Mazda MX5 NC RC fait appel à un toit qui se replie entièrement dans son logement dédié sans empiéter le coffre. Ainsi une fois son toit replié, la RC est un véritable cabriolet. Ce n’est pas le cas de la MX5 ND RF dont seule la partie supérieure du toit se replie. Ainsi la vitre de custode arrière et ses petits montants latéraux restent en place. C’est donc plus dans cette configuration une version Targa qu’un véritable cabriolet. S’il faut reconnaître qu’une fois le toit en place, la ligne de la ND RF est plus harmonieuse que son aînée, en configuration toit replié, elle n’offre pas tout à fait le même attrait que la version RC avec une petite impression d’enfermement et des remous d’air un peu moins bien maîtrisés. Mais un coupé-cabriolet pas comme les autres Si la MX5 NC RC est bien un coupé-cabriolet, il n’est pas tout à fait comme les autres. Souvent, les constructeurs qui ont voulu surfer au plus vite sur le succès inattendu du concept de coupé-cabriolet sont partis par soucis d’économie sur une plateforme technique existante non conçue au départ pour ce concept particulier. Le résultat, ce sont bien souvent des véhicules à la ligne déséquilibrée avec une partie postérieure proéminente destinée à loger un toit rétractable imposant. Cela se ressent également sur le plan dynamique où le surpoids engendré est venu la plupart du temps malheureusement altérer le plaisir de conduite. Tout l’inverse de l’esprit recherché pour ce type de véhicule ! Si on y ajoute de fréquents soucis de fiabilité du mécanisme du lourd toit rétractable, on a au final tous les ingrédients qui ont rapidement conduits à tuer le concept en quelques années ! L’esprit MX5 totalement conservé Tout l’inverse de la MX5 NC RC dont la plateforme technique est rigoureusement identique à sa soeur ST à capote souple. Le petit toit rigide en fibre de carbone se replie dans un espace à peine plus grand que celui dédié à la capote souple, entre les sièges et le coffre. Il exige simplement un peu plus de hauteur. Les ingénieurs Mazda ont réussi le tour de force de concevoir un mécanisme de repliage à la fois simple, léger, rapide et d’une fiabilité exemplaire. Seules concessions techniques, des ailes arrières un peu plus hautes pour harmoniser le profil du roadster japonais et des suspensions un peu plus souple pour gagner en confort. Au final le toit et son mécanisme n’ont engendré qu’un surpoids de 70 kilos soit environ 6 % du poids total seulement. En conduite normale, la différence de comportement entre une MX5 à capote souple et sa version à toit rigide est imperfectible. Il n’y a guère que sur circuit, repoussée dans ses derniers retranchements qu’une NC à toit rigide se montrera peut être un peu moins dynamique que la version à capote souple. La Mazda MX5 NC RC pour qui ? Au final cette version RC s’adresse à tous les amateurs De MX5 qui veulent donner à leur expérience roadster une petite touche de polyvalence en plus. Le toit rigide permet d’avoir 2 voitures en une. On peut ainsi profiter d’un véritable cabriolet avec tous les charmes de la conduite cheveux au vent. Ou, selon son humeur, conduire un petit coupé 2 places au confort acoustique supérieur. Le toit rigide permet en plus de garer son roadster à l’extérieur avec moins d’appréhension qu’un cabriolet classique à la capote en toile plus vulnérable aux intempéries, au vieillissement et aux mauvais gestes.
ASTONMARTIN V8 VANTAGE - TUER N'EST PAS JOUER REF 15 COLLECTION JAMES BOND 007. Réf. : DS-00487. Stock disponible : 1 15.00 € Quantité max atteinte Ajouter . Voiture en parfait Pour célébrer les 60 ans de la franchise de films James Bond, la société de production EON s’associe à la maison d’enchères Christie’s. Ils proposent une sélection d’objets et véhicules utilisés lors des tournages, dont les fonds perçus iront à des associations caritatives. Lancée il y a 60 ans, la saga de films James Bond est gravée dans l’esprit collectif. Pour célébrer cet anniversaire, la société de production EON s’est associé à l’un des spécialistes de la vente aux enchères, la maison Christie’s, pour organiser un grand événement fin septembre. La vente est organisée en deux parties. Elle comporte 60 lots au total. La première partie, organisée en ligne dès le 15 septembre jusqu’au James Bond Day le 5 octobre, compte 35 lots qui couvrent les 25 films affiches, costumes, éléments de décors… La seconde, organisée par Christie’s et EON Production, se déroulera quant à elle le 28 septembre à Londres, sur invitation uniquement. Elle propose 25 lots, principalement issus du dernier film de la saga, Mourir Peut Attendre No Time To Die sorti en 2021. Et parmi les lots proposés par Christie’s, plusieurs véhicules ayant servi lors du tournage du film. Plusieurs Land Rover à vendre Ainsi, on trouve l’un des dix Land Rover Defender 110 de pré-production utilisés pour des cascades comme lors d’une course-poursuite en Norvège entre James Bond joué par Daniel Craig et les hommes de main de Safin Rami Malek. Motorisé par un six-cylindres de plus de 400 ch, ce Defender noir a encore des stigmates de ses exploits cinématographiques et ne pourra pas prendre la route tel quel. Il faut plutôt le voir comme un objet de collection. L’estimation du prix est logiquement élevée au vu de la rareté, avec 300 000 à 500 000 livres soit entre 360 000 et 600 000 € environ. Le fruit de la vente ira à la Croix Rouge Britannique. Un des six Range Rover Sport SVR utilisés pour les cascades mais moins marqué au niveau de la carrosserie est quant à lui estimé entre 80 000 et 120 000 livres. La célèbre DB5 aussi disponible Christie’s propose également la mythique Aston Martin DB5 de l’espion anglais… ou du moins sa réplique fidèle utilisée pour les cascades. Celle-ci a notamment servi lors de la scène d’ouverture pré-générique, avec une course-poursuite dans les ruelles de Matera, en Italie. Préparée spécifiquement avec des équipements de sécurité et quelques accessoires tels que des mitraillettes de phares, la voiture est estimée entre 1,5 et 2 millions de livres 1,8 à 2,4 millions d’euros. L’une des voitures utilisée par les adversaires de Bond dans les rues de la cité italienne, une Jaguar XF grise de 2020, est aussi proposée à la vente. Sa mise de départ est bien plus raisonnable, avec 50 000 livres, soit environ 59 800 €. Parmi les autres Aston Martin proposées, l’un des trois exemplaires de la V8 de 1981 utilisée par Daniel Craig dans Mourir Peut Attendre. Iconique avec son coloris Cumberland Grey, elle est identique à celle utilisée par Timothy Dalton dans Tuer N’est Pas Jouer en 1987. Elle est estimée entre 500 000 et 700 000 livres, soit environ 600 000 à 836 000 €. Deux éditions spéciales Bond » vendues Un Defender V8 110 Bond Edition, conçu par SV Bespoke et inspiré par les caractéristiques des Defender de Mourir peut Attendre est aussi proposé à la vente. L’estimation est de 200 000 à 300 000 livres, soit environ 240 000 à 360 000 €. Seulement 300 exemplaires de Bond Edition ont été disponibles pour le monde entier et celui-ci porte un logo “60 Years of Bond” gravé sur le tableau de bord. Ce véhicule reprend les spécifications britanniques, normalement homologué, et il est mis en vente au profit du fonds caritatif Tusk conservation. Christie’s propose également l’un des 20 exemplaires de la DBS Superleggera 007 Edition ». Cette série ultra-limitée est signée des mains de l’actrice Lashana Lynch et des producteurs Michael G. Wilson et Barbara Broccoli. Elle est estimée à plus de 300 000 livres. Photos Christie’s / EON Production A lire aussi sur Les voitures oubliées de la saga James Bond Land Rover Classic reconstruit 25 anciens Defender V8 James Bond toutes les voitures mythiques de 007 jusqu’à Spectre [PHOTOS] Leproblème, c'est qu'on a eu depuis dix cas positifs au Covid-19, y compris au sein du staff. Et le lundi matin, on nous a dit qu'on devrait jouer ce match. C'était ça mon problème. On n'a